Watch “Antonín Dvořák – Le Rouet d’or/The Golden Spinning Wheel, poème symphonique B. 197 (op. 109)” on YouTube

Ouvrir le menu principal

Rechercher

Poèmes symphoniques de Dvořák

Langue

Télécharger le PDF

Suivre

Modifier

Ces Poèmes symphoniques sont des œuvres de la maturité d’Antonín Dvořák et ont été inspirés, à l’exception du Chant du héros, par des contes en vers de Karel Jaromír Erbenissus des légendes populaires transmises par la tradition orale tchèque. Ils ont été composés après son séjour américain, lors de son retour en Bohême en 1896 et constituent les dernières œuvres pour orchestre du compositeur. Au nombre de cinq, ils sont représentatifs d’une musique à programme. Ils peuvent être rapprochés, dans la démarche, des Ouvertures de concert ou du cycle Má Vlast de Smetana.
Les trois premiers, entrepris en janvier, sont rapidement achevés dès avril et le quatrième, la Colombe, à l’automne. Le Chant du héros est composé début 1897.

L’Ondin (Vodník), B. 195 (op. 107)

La Sorcière de midi(Polednice), B. 196 (op. 108)

Le Rouet d’or(Zlatý kolovrat), B. 197 (op. 109)

La Colombe(Holoubek), B. 198 (op. 110)

Le Chant du héros(Píseň bohatýrská), B. 199 (op. 111)

Notes et références

Liens externes

Dernière modification il y a 16 jours par JulienLEU

Le contenu est disponible sous licence CC BY-SA 3.0 sauf mention contraire.

Conditions d’utilisation

Confidentialité

Désactiver la version mobile

Leave a Reply: (What... You're shy?)

Please log in using one of these methods to post your comment:

WordPress.com Logo

You are commenting using your WordPress.com account. Log Out /  Change )

Twitter picture

You are commenting using your Twitter account. Log Out /  Change )

Facebook photo

You are commenting using your Facebook account. Log Out /  Change )

Connecting to %s